Nom : Marios
Prénom : Anaël
Age : 15 ans
Date de naissance : 26 Décembre 1995
Physique : Anaël est une jeune fille d’environ 1m 55 pour un poids ni trop élevé ni trop bas, dans la moyenne à peut près. Ses cheveux sont d’une curieuse teinte violet claire, si claire qu’ils paressent presque blanc quand le soleil les éclairs directement. Ils sont coupés court, avec une frange, et son rebelle vers les extrémités ce qui évite que la coiffure soit trop monotone. Ils encadres un visage de forme à peut près ovale et bien dessiné. De fine lèvre pulpeuse et rosé, un nez fin et droit et de grands yeux gris qui généralement n’exprime presque aucune émotion. Elle a la peau douce et claire, un corps tout ce qu’il y a de plus féminin. De long doigt fin avec aux extrémités des ongles coupés en pointe, décoré par du vernis à ongle de la même couleur que ses cheveux.
Pour les vêtements elle reste simple, un t-shirt trop grand, le premier truc qui lui tombe sous la main lui suffise. Ainsi on peut la voire habiller comme un garçon et le lendemain porter un truc très sexy. La seule chose qui ne change pas est une bague qu’elle porte sur le majeur de sa main gauche.
Caractère : Anaël n’est pas une personne très bavarde par nature, elle ne va pas vers les autres mais si on vient lui parler elle n’enverra personne balader plus loin. En fait elle préfère laisser les autres faire le premier pas, sans doute par flemme mais certainement pas par timidité. On pourrait la qualifier de très bonne camarade de classe, toujours là si quelqu’un lui demande conseil. Toujours à répondre au sourire de loin. Mais à cause de son regard elle a développé une certaine habitude à s’isoler volontairement, ce qui expliquerait que bien souvent son entourage proche se compose que d’une seule personne. Pour faire simple ce qui dérange les autres dans le regard d’Anaël est le fait qu’il n’exprime rien du tout. Aucune lueur de joie, de tristesse, d’anxiété … Ses yeux ne reflète absolument rien de ce genre qui correspondrait au reste de son visage.
Les seules moments ou ses yeux reprenne ‘vie’ est en la présence de sa chienne Anna qu’elle a prit l’habitude d’appeler Maman. Ce facteur fut d’ailleurs celui qui éloigna définitivement les autres d’elle.
Histoire : Anaël est née dans la maison familiale, dans un petit village un peu perdu en plein milieu d’une grande forêt. L’enfance de la petite fille se passa à merveille. Elle reçu plein de cadeau, avait la chance d’avoir des parents souvent là. La seule chose d’inhabituelle qui se passa concernait son père. Aussi longtemps que la jeune fille le sache, à chaque fois que la pleine lune arrivait sa mère et elles allaient se cacher dans la forêt.
À l’école tout se passait très bien, Anaël était une camarade de classe exemplaire. Aucun adulte ne lui reprochait quoi que ce soit et elle ne se dispute jamais avec les autres camarades de classe. Jusqu’à ses 6 ans la petite fille vivait une vie paisible entre l’école et ses parents. Mais sa vie paisible devint légèrement tourmentée par l’arriver d’un petit frère.
Il avait été nommé Lucas, et non content d’empêcher Anaël d’être la fille unique il passait son temps à pleurer, hurler … Bref, faire tout ce que peut faire un bébé. Mais cette mauvaise période de jalousie passa vite quand il grandi et arrêta de pleurer pour un oui ou pour un non.
En fait, il n’y avait rien à dire à la vie de la petite fille. C’était une enfance comme les autres, avec les joies, les peines que pouvait rencontrer n’importe qui. À l’âge de 10 ans Anaël s’inscrivit à un club d’escalade. Elle avait décidé d’y aller plus par curiosité que par réel intérêt pour ce sport. L’escalade ne se pratiquait pas sur un mur d’escalade comme dans tout bon club qui existe. Ceux qui voulaient apprendre à escalader devaient le faire directement sur une paroi rocheuse. L’initiation se faisait au fur et à mesure. C’est à dire qu’on laissait la personne grimper jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus, ou ne trouve plus de prise. Et après on la faisait descendre, enfin le soutient qui tenait la corde faisait descendre le grimpeur par la seule force des bras.
En gros, après que Anaël ce fut harnaché et attaché à l’extrémité d’une corde et le soutient à l’autre extrémité, elle commençât à grimper. Personne ne lui avait dit quoi faire mais la petite fille semblait arriver à le faire instinctivement. Elle grimpait lentement, mais au moins elle savait très bien se débrouiller et montait toujours plus haut avec les encouragements de son soutient. La corde qui la retenait était constamment tendu ce qui montrait bien que la personne soutient savait très bien se débrouiller dans se rôle et la jeune fille put se reposer contre la paroi assise dans son harnachement à environ une vingtaine de mètre au dessus du sol. Puis elle continua à grimper encore et encore jusqu’à ce qu’elle se retrouve bloqué et ne trouve plus une seule prise qui pouvait être assez sure pour elle. De la main gauche elle fit signe au soutient qu’elle souhaitait descendre, mais elle ne sut pas si il l’avait vu. D’une parce qu’elle était trop loin et de deux parce qu’elle n’arrivait plus trop à bouger. Sans qu’elle s’en rende compte elle commençait à trembler et à sentir la peur étreindre son ventre. Elle ignorait pourquoi elle avait peur comme ça. Elle sentit qu’on donnait des coups de corde, sans doute le soutient qui lui faisait comprendre qu’elle pouvait se préparer. Mais elle n’arrivait pas à ce mettre en position pour se laisser descendre en rappel, elle était littéralement figé. Les coups de corde se firent plus fort, comme si il voulait que Anaël lâche prise et le laisse faire, mais elle en était incapable. Puis d’un seul coup ne pouvant plus se tenir avec les bras, ses mains lâchèrent prise sans qu’elle le veuille. Mais malheureusement c’était lors d’un moment d’inattention de la part de son soutient qui appelait de l’aide pour la faire descendre. Elle parcourut la distance grimper en très peu de temps, mais au lieu de s’écraser au sol un vent violent se leva. Il était concentré au ras du sol en dessous d’Anaël, il était tellement fort que la chute de la petite fille ralentit et elle tomba en douceur sur le sol. L’homme soutient vint la voir pour la découvrir en pleur. Il lui fallut du temps pour se remettre du choc, et encore plus pour admettre que le vent l’avait en quelques sortent à la bonne. Sur le moment personnes n’avaient comprit que c’était elle qui avait déclenché ce vent. Seul son père le comprit car il avait ce même pouvoir et qu’un jour il prit sa fille à part pour le lui expliquer le mieux possible. À l’âge de 11 ans, sa famille adopta une chienne labrador noir nommé Anna. Jusqu’à ces 12 ans il ne se passa rien, mais c’est dans cette période là de sa vie que tout changea.
Sa c’était passé un soir de pleine lune. Comme chaque mois Anaël son frère et sa mère étaient aller se réfugier dans la forêt en laissant le papa seul dans la maison. Mais les deux choses que tout le monde ignorait étaient que le père était un lycan, et que ses gènes de loup-garou avaient été transmit au petit frère d’Anaël. Sauf que le gène était resté latent durant toute ses années. Sauf que ce jour là, ou plutôt cette nuit là, le gène se réveilla et fini par transformer l’enfant en loup-garou. La transformation avait été lente et douloureuse au juger des hurlements que poussa l’enfant alors âgé de 6 ans.
Durant la transformation aucune des deux filles ne bougèrent, seul Anna semblait réagir en poussant des gémissements et en tirant le pantalon d’Anaël comme pour l’en éloigner. À présent la mère et sa fille c’était retrouvé devant un loup-garou miniature. L’animal attaqua, avec sûrement l’intention de tuer la mère. Mais cette dernière préféra donner sa fille en pâture pour pouvoir survivre. La bête arriva droit sur Anaël, sauta sur elle et lui déchiqueta l’épaule pour la faire tomber à terre. Une fois l’obstacle disparut il poursuivit la mère. Anaël ne sut pas ce qui arriva par la suite car la douleur la fit perdre connaissance. Elle c’était réveillé en même temps que la lueur du jour. Difficilement elle se mit sur ses pieds et marcha très maladroitement droit devant elle. Un peu plus loin elle découvrit les corps sans vie de son frère et de sa mère, avec à côté la jeune chienne. Elle resta figé devant ce spectacle un très long moment avant qu’elle ne retombe dans les pommes.
La seconde fois où elle se réveilla, c’était dans son lit. Un bandage sur son épaule et la chienne couché juste à côté d’elle dans le lit. Son père ne tarda pas à entrée dans la pièce, à son arrivé la jeune fille tourna la tête vers lui et avec un sourire absent et un peu folle elle se mit à parler :
"T’as vu papa, maman c’est transformer en chien."
Cette phrase avait suffit au papa à comprendre qu’Anaël n’admettait pas la mort de sa mère. Et il n’osât pas la contre dire. Allant même jusqu’à appeler la chienne Anna, comme si il s’adressait à sa femme. Surtout qu’il était préoccupé par une autre question, il avait clairement vu que la blessure avait été fait par un lycan. Et comme la jeune fille s’en été sorti vivante, il savait qu’elle était devenu une lycan à son tour. Mais allait-elle l’accepter ? Les jours passèrent et il ne trouvait pas le courage de le lui annoncer. Finalement ce fut au tout dernier moment qu’il lui expliqua tout. Contrairement à ce qu’il craignait, elle accepta sans problème le fait qu’elle n’était plus une humaine.
2 ans et demi passèrent durant lesquelles la jeune fille continuait à se transformer en bête féroce lors des pleines lunes. Rien ne changea pendant ses 2 années. Elle vivait plus qu’avec son père, elle appelait toujours la chienne Anna, Maman. Et elle découvrit son pouvoir de contrôle sur le feu.
C’est quand elle eut 15 ans que son père décida de l’inscrire dans une école qui aide les jeunes à contrôler leurs pouvoirs magiques. Une école qui accueillait sans problème les lycans, et aussi les vampires, mais ça Anaël, elle s’en fou un peu.
Race : Lycan
Éléments : Air et Feu.
Signe particulier : Ses cheveux d’une couleur peut habituelle et son regard constamment vide, sauf en présence de sa chienne.
Animal de compagnie : Anna, plus connu sous le nom de "Maman" est une labrador noir avec une tache blanche sur la poitrine qui donne l’impression qu’elle porte un médaillon.
Ven 23 Mar - 21:43
